Estelle a 24 ans. C’est une femme ouverte et libre comme l’air, un peu bobo et hippie. Sans emploi fixe elle fait les vendanges et la cueillette des fruits. Pour elle les vendanges sont celles de l’amour, ainsi elle aime être sautée entre les pieds de vignes en regardant le soleil se coucher avec un bon verre de vin …
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Bonjour à toi, cher lecteur, qui te laisses intriguer par mon profil. Je m’appelle Estelle, j’ai 24 ans et je suis une femme aussi libre et légère que l’air qui souffle dans les champs de blé. Je suis un peu bobo, un peu hippie, et j’aime laisser la vie me surprendre et me guider. Je n’ai pas d’emploi fixe, car je préfère suivre le rythme des saisons et des récoltes. Je travaille dans les vignes et les vergers, là où la nature m’appelle.
Pour moi, les vendanges ne sont pas seulement une récolte de raisins, mais aussi une célébration de l’amour et de la vie. J’aime l’idée d’être sautée entre les pieds de vignes, de sentir la terre sous mes pieds et le soleil couchant sur ma peau, un bon verre de vin à la main. Je suis une femme passionnée, qui aime le contact de la peau, les baisers langoureux et les étreintes fougueuses. Vendangeons ensemble, laisse moi jouer avec ton cep solide comme un pied de vigne. Laisse moi le prendre dans ma bouche, le sucer et lui faire rendre son nectar de sperme comme un bon vin nouveau.
Je sais que tu me regardes, et je sais que tu ne me regardes pas seulement dans les yeux. Je sais que tu apprécies ce que tu vois, et je t’invite à me le dire. Je suis une femme ouverte, qui aime les compliments et les mots doux. Je suis aussi une femme qui aime les choses claires et directes. Alors n’hésite pas à me dire ce que tu aimerais faire avec moi, quelles positions tu aimerais essayer. Je suis ouverte à toutes les propositions, tant qu’elles sont respectueuses et consenties. J’aime être baisée pendant mes règles, c’est naturel et jouissif, mais si ça ne te plait pas, je peux t’offrir mon petit trou du cul … Je sais que des hommes aiment manger le sexe des femmes pendant les règles; si c’est ton fantasme je ferais un plaisir de t’offrir ma chatte pour ce moment de plaisir …
Je ne suis pas le genre de fille à rester seule trop longtemps. J’aime la compagnie, j’aime les moments de complicité et de tendresse. J’aime me blottir dans les bras d’un homme, sentir son corps contre le mien, et passer de longs moments dans la chambre à coucher avant de m’endormir. Je ne suis pas à la recherche d’une relation sérieuse, mais plutôt de rencontres coquines et sans prise de tête.
Alors, si tu es un homme qui aime les femmes libres et passionnées, qui aime la nature et le vin, et qui n’a pas peur de dire ce qu’il veut, n’hésite pas à me contacter. Je serais ravie de faire ta connaissance, et peut-être de partager un verre de vin avec toi, au milieu des vignes, en regardant le soleil se coucher.
A bientôt, j’espère, pour des vendanges amoureuses et coquines.
Estelle.
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Commentaires
Léo – 32 ans – Sommelier – Posté le 5 juillet 2025 à 21h17
Estelle m’a donné rendez-vous entre deux rangées de vignes, dans un coin un peu en pente où le soleil caressait encore la terre. Elle portait une robe légère, sans culotte dessous, et son rire résonnait comme une promesse. On s’est embrassés longtemps, avant que je la fasse s’agenouiller dans la terre chaude, son visage entre mes cuisses. Elle m’a sucé comme une vraie déesse de la nature, avec passion, avec tendresse, avec une salive sucrée au goût de raisin. Ensuite, je l’ai prise à genoux, ses fesses pleines de poussière et de plaisir. Elle gémissait comme une nymphe en chaleur, offerte, divine. C’est la première fois que je jouis aussi fort, les yeux tournés vers le ciel.
Réponse d’Estelle – le 5 juillet 2025 à 22h02
Ah Léo… ton goût dans ma bouche m’a laissée ivre pendant deux jours. Je n’oublierai jamais tes mains sur mes hanches, ni ta façon de me murmurer à l’oreille pendant que tu me remplissais… Tu avais le goût du vin rouge et l’odeur du mâle en rut. Reviens quand tu veux m’enfoncer ta grappe jusqu’au trognon…
Réponse de Léo – le 5 juillet 2025 à 22h27
Si tu me redonnes ton jus sucré, j’arrive avec une bouteille et je t’attache contre le tronc d’un vieux figuier… On boira ton plaisir à la source, ma belle déesse vendangeuse.
Thomas – 29 ans – Agriculteur bio – Posté le 7 juillet 2025 à 09h51
On a fait l’amour dans une cabane à outils, sur un vieux matelas taché de terre. Estelle avait ses règles, elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit : « Tu veux goûter à la vraie moisson ? » J’ai plongé la tête entre ses cuisses, son sang et son plaisir mêlés, c’était sauvage, puissant, sacré. Je l’ai prise ensuite en levrette contre le mur, ses cheveux en vrac, ses seins lourds cognant contre le bois. Elle m’a dit « Continue, labourre-moi comme ta terre ! » Je ne suis pas près d’oublier ses gémissements rouges et profonds.
Réponse d’Estelle – le 7 juillet 2025 à 10h03
Ton visage entre mes cuisses ce jour-là m’a fait frissonner de tout mon corps. C’était viscéral, animal, et incroyablement sensuel. Tu m’as prise comme un homme prend la terre : sans peur, avec amour brut. Je veux encore sentir ton nez dans mon sexe, et ta queue battre en moi comme un tambour de fête.
Réponse de Thomas – le 7 juillet 2025 à 11h11
J’ai encore ton goût sur ma moustache, et ton sang sur ma peau. La prochaine fois, je viens avec ma brouette… pour t’étaler nue dedans, et te baiser sous la lune.
Julien – 41 ans – Photographe – Posté le 9 juillet 2025 à 01h43
Estelle m’a proposé une séance photo nue au coucher du soleil. Elle s’est déshabillée lentement, me laissant la contempler comme une œuvre d’art. Elle s’est assise sur une souche d’arbre, jambes écartées, et m’a demandé de la photographier pendant qu’elle se caressait. Je n’ai pas tenu longtemps. J’ai posé mon appareil et je suis venu la prendre à genoux, la bouche pleine de sa cyprine. Ensuite, elle m’a proposé son petit trou, tendu et chaud, pendant que je lui murmurais des poèmes à l’oreille. Elle aime ça, profond, lent, intense. On a joui ensemble, sans dire un mot, juste des râles et des soupirs.
Réponse d’Estelle – le 9 juillet 2025 à 02h15
Tes poèmes m’ont traversée comme tes doigts et ta langue. Ton objectif m’a capturée, mais c’est ta verge qui m’a vraiment figée dans le temps. Mon petit trou se souvient encore de chaque va-et-vient… tu l’as rempli comme un bon photographe remplit sa pellicule : avec précision, art et désir.
Réponse de Julien – le 9 juillet 2025 à 03h01
Je veux refaire une série de clichés… mais cette fois, juste de toi jouissant, les jambes tremblantes, le cul ouvert, la bouche pleine. Ton corps est ma muse, Estelle.
Maxime – 26 ans – Étudiant en œnologie – Posté le 12 juillet 2025 à 17h08
Estelle est venue me rejoindre dans le chai de mon oncle. Elle a ôté sa robe devant les barriques, nue, sans gêne, ruisselante de désir. Je l’ai allongée sur une palette en bois, et j’ai versé un peu de vin blanc glacé sur ses seins. Elle a gémi fort. Je l’ai baisée longuement en missionnaire, regard dans regard, en lui tenant les poignets. Elle se cambrait à chaque coup de reins, sa chatte m’avalait comme une terre assoiffée. Elle m’a demandé que je vienne dans sa bouche, et quand j’ai explosé, elle a tout bu. « Comme un bon Chardonnay », m’a-t-elle dit en se léchant les lèvres.
Réponse d’Estelle – le 12 juillet 2025 à 18h22
Ce vin sur ma peau, c’était divin. Mais c’est ta bouche, ton corps, ton foutre chaud que j’ai préféré. Tu m’as fait vibrer de la pointe des seins jusqu’au fond de la gorge. J’ai envie de goûter ton vin tous les mois, Maxime…
Réponse de Maxime – le 12 juillet 2025 à 19h04
Je suis déjà en train de faire vieillir une cuvée spéciale, rien que pour toi. Et la prochaine fois, c’est toi que je dégusterai pendant des heures… jusqu’à ce que tu dégoulines comme un grand cru.